CLAQUETTES-CHAUSSETTES au PALAIS-ROYAL: Une idée pour les OLYMPIADES du PAR CŒUR ?

Après 15 jours de résidence, la compagnie l'Oubliée vous offre un spectacle unique samedi 16 et dimanche 17, à 17h et 19h. Ils m'ont offert de l'émerveillement, de l'enthousiasme, de la magie. Je leur ai communiqué, je crois, un peu de joie et l'amour du Palais-Royal. Ah, et ils m'ont aussi appris la "street cred", qui tient notamment à la fierté des claquettes-chaussettes, pour le plus grand amusement de la Ministre.

Ainsi s'exprime Aymeric, maitre des cérémonies du PAR CŒUR, hôte de toutes sortes de styles (culture et mode) au Palais-Royal: une inspiration pour les Olympiades du Par Coeur, dont la 1ère réunion/débat d'idées et de propositions aura lieu dimanche prochain, selon le format habituel des "impros", le dimanche 24 septembre, je vous remets l'annonce. C'est presque complet, dépêchez-vous !

Dimanche 24 septembre, à 18 h, Café Le Troll dans le 12ème, 27 rue Cotte, venez réciter et apporter vos propositions pour les Olympiades du Par Coeur. Si vous venez, prévenez-moi à proustpourtous@gmail.com, car il n'y a que 30 places

Vous pouvez penser à :

- où les Olympiades démarreront-elles ? par exemple à Illiers-Combray, à Sceaux, au café Troll (pour le 12ème), café de la Mairie pour le 6ème, que sais-je ?

- quand?

- costume ?

- symbole?

Etc etc...

Une petite mention pour les proustiens: Albertine aurait pu s'inscrire aux Olympiades!

La défense d'entrer chez moi, avant que j'eusse sonné, l'amusait beaucoup. Comme elle avait pris notre habitude familiale des citations et utilisait pour elle celles des pièces qu'elle avait jouées au couvent et que je lui avais dit aimer, elle me comparait toujours à Assuérus :

… La mort est le prix de tout audacieux

Qui sans être appelé se présente à ses yeux.

Rien ne met à l'abri de cet ordre fatal.

Ni le rang, ni le sexe, et le crime est égal.

Moi-même…

Je suis à cette loi comme une autre soumise,

Et sans le prévenir il faut pour lui parler

Qu'il me cherche ou du moins qu'il me fasse appeler.

(extrait de La Prisonnière)