Ce matin j'ai lu dans le Monde, on line, une interview d'Alain Finkelkraut, qui citait La Fontaine, de la même façon que le faisait très souvent mon père, une maxime que j'aime également adopter:
Finkelfraut:
Je me récite souvent ces vers de La Fontaine dans l'espoir fragile de pouvoir en être digne :
"J'aime le jeu, l'amour, les livres, ( la musique, La ville et la campagne, enfin tout) ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un coeur mélancolique."