Grâce à facebook et un nouvel "ami", je suis tombée sur une réflexion quant à la nature du mauvais goût (appelé parfois goût de chiottes, ce qui rend le concept plus sympathique par son exagération). Qu'en aurait-dit le moi littéraire de Marcel? Je pense que sa pensée sur les opinions et les esprits s'applique au goût.
Sauf chez quelques illettrés du peuple et du monde, pour qui la différence des genres est lettre morte, ce qui rapproche, ce n'est pas la communauté des opinions, c'est la consanguinité des esprits.
(au sujet de M. de Norpois): A l'ombre des jeunes filles en fleurs: Autour de Mme Swann
Thanks to facebook and a new "friend", I happened to bump on a conversation about good and bad taste. I wondered what the litterary Marcel would have said.
Save in the case of a few illiterates — high or low, it makes no matter — by whom no difference in quality is perceptible, what attracts men one to another is not a common point of view but a consanguinity of spirit.
(about M. de Norpois) Within a budding grove: Mrs Swann at home