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Du temps où nous nous dînions au Café de la mairie, place Saint-Sulpice, deux fois par mois en "jouant" du Proust, parmi les plus fidèles proustiens se trouvait Danielle Mazon, qui nous confia être la petite-fille d'un célèbre helléniste, Paul Mazon, traducteur entre autres textes de l'Iliade.
Et quand ce matin, à la recherche d'un extrait d'Homère pour illustrer antiquement "Minette de Combray, l'amie des écrivains: voyages gastronomiques en littérature", je suis tombée sur l'érudit grand-père...
Et comme pour moi être proustien c'est relier tout à tout, et que de nombreux de mes coreligionnaires sont très cultivés, j'ai pensé à eux: