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Un article du Figaro sur le dîner du CRIF, durant lequel Manuel Walls a décrit l'antisionisme ambiant comme de l'antisémitisme La bête renait donc sous d'autres formes que l'antisémitisme de la Belle Epoque.
Quand on le présentait, il s'inclinait à la fois avec un sourire de scepticisme et un respect exagéré, et si c'était à un homme disait : « Enchanté, Monsieur », d'une voix qui se moquait des mots qu'elle prononçait, mais avait conscience d'appartenir à quelqu'un qui n'était pas un mufle. Cette première seconde donnée à une coutume qu'il suivait et raillait à la fois (comme il disait le premier janvier : « Je vous la souhaite bonne et heureuse »), il prenait un air fin et rusé et « proférait des choses subtiles » qui étaient souvent pleines de vérité mais « tapaient sur les nerfs » d'Albertine. Quand je lui dis ce premier jour qu'il s'appelait Bloch, elle s'écria : « Je l'aurais parié que c'était un youpin. C'est bien leur genre de faire les punaises. » A l'ombre des jeunes filles en fleurs
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DEMAIN MERCREDI 9 MARS A 18 H, AU CAFE DE LA MAIRIE, et JEUDI 10, "A TABLE A COMBRAY", à 20 h, autour de magret de canard et tarte tatin
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An article in Le Figaro about a French Jewish Organization's dinner, in which Manuel Walls described the current antisemitism l'antisionisme ambiant comme de l'antisémitisme Thus, the beast is born again with another shape than during the Belle Epoque.