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Une amie de FaceBook passionnée de costumes d'époque, a publié une photo qui donne bien une idée de ce qui fait le prix de la haute couture. Des détails que mon amie et très grande élégante Jahida me fait remarquer lorsqu'elle me donne des conseils (sans elle je m'habillerais tous les jours de la même façon, un rêve pas très français).
« Il faudra que nous nous occupions bientôt de vos robes de Fortuny », dis-je un soir à Albertine. Et certes, pour elle qui les avait longtemps désirées, qui les choisissait longuement avec moi, qui en avait d'avance la place réservée, non seulement dans ses armoires mais dans son imagination, posséder ces robes, dont, pour se décider entre tant d'autres, elle examinait longuement chaque détail, serait quelque chose de plus que pour une femme trop riche qui a plus de robes qu'elle n'en désire et ne les regarde même pas. Pourtant, malgré le sourire avec lequel Albertine me remercia en me disant : « Vous êtes trop gentil », je remarquai combien elle avait l'air fatigué et même triste. La prisonnière
Une amie de FaceBook who has a passion for costumes, has published a photograph of what makes high fashion pricy. Details that my friend and extremely elegant Jahida, makes me notice when she advises me when we shop together (without her I would dress every day the same, a not very French dream).